Ma recherche est centrée sur l’exploration sculpturale toujours réalisée par un travail soutenu de la matière où je marie, dans le but d’obtenir un résultat volontairement imparfait et inachevé, différentes techniques et esthétiques. Assumant le passé associé aux techniques de production artistique, je poursuis un travail basé sur la connotation des matériaux utilisés auquel j’ajoute des références figuratives la plupart du temps associées au corps humain telles que visages, pieds, mains sans exclure l’apparition occasionnelle de personnages entiers.
J’aime voir apparaître dans mon travail une dimension narrative. Me réapproprier les schèmes visuels historiques, notamment associés à la sculpture classique et au buste me permet de questionner l’héritage de tels objets, lesquels traînent dans leurs sillages un passé associé aux anciens empires et à l’utilisation de l’art par les pouvoirs dominants. C’est dans le mélange des genres, des matériaux, des styles, des horizons historiques et culturels que se trouve la base de mes inspirations. Je tiens à faire coexister dans mes œuvres plusieurs savoir-faire : de l’artisan travaillant le bois ou de l’artiste qui façonne l’argile ou le polyuréthane en passant par différentes techniques industrielles du travail du bois et de l’acier, et ce, dans un but de désacralisation et d’hybridation, pour brouiller les horizons, les carcans, les appréhensions.
J’aime voir apparaître dans mon travail une dimension narrative. Me réapproprier les schèmes visuels historiques, notamment associés à la sculpture classique et au buste me permet de questionner l’héritage de tels objets, lesquels traînent dans leurs sillages un passé associé aux anciens empires et à l’utilisation de l’art par les pouvoirs dominants. C’est dans le mélange des genres, des matériaux, des styles, des horizons historiques et culturels que se trouve la base de mes inspirations. Je tiens à faire coexister dans mes œuvres plusieurs savoir-faire : de l’artisan travaillant le bois ou de l’artiste qui façonne l’argile ou le polyuréthane en passant par différentes techniques industrielles du travail du bois et de l’acier, et ce, dans un but de désacralisation et d’hybridation, pour brouiller les horizons, les carcans, les appréhensions.